Publications

A. Ricciardetto et D. Gourevitch (éd.), Théon, l’enfant grec d’Oxyrhynque. La vie quotidienne en Égypte au IIIe siècle

Envoyer Imprimer

couverture_cdc_9_thon.jpg

Antonio Ricciardetto et Danielle Gourevitch (dir.), Théon, l'enfant grec d'Oxyrhynque. La vie quotidienne en Égypte au IIIe siècle, Liège, 2020.

Éditeur : Presses Universitaires de Liège
Collection : Les Cahiers du CEDOPAL, 9
111 pages
ISBN : 978-2-87562-241-9
24,00 €


Les papyrus retrouvés en masse dans les sables d'Égypte offrent la possibilité de connaître la vie quotidienne des habitants du Pays du Nil sous la domination des Romains, non seulement des hommes et des femmes, mais aussi des enfants. Ils ne peuvent dès lors que susciter la curiosité des jeunes lecteurs. C'est sur cette documentation abondante que se fonde Théon, l'enfant grec d'Oxyrhynque. Un tantinet bavard mais surtout très curieux, Théon raconte son histoire en Égypte, au début du IIIe siècle. Du haut de ses onze ans, il décrit le monde qui l'entoure. Au fur et à mesure du récit, le garçon grandit ; il apprend le métier de tisserand, qui est celui de son père et de ses aïeux. Le récit s'achève par la fin de son enfance et son désir de se marier, et par trois brèves histoires, trois « héros » qui le font rêver : Alexandre le Grand, Cléopâtre et Antinoos.
À l'exception de l'intrigue, qui est imaginée, tout, dans le récit, est véridique et documenté. Le livre est aussi illustré de nombreuses photographies de portraits, d'objets et de lieux, afin de sensibiliser les enfants et les adolescents à l'histoire de l'art et à la variété de l'iconographie. Il s'adresse donc aux jeunes lecteurs, amateurs d'histoire, mais on peut aussi lire la vie de Théon en famille.

Lire la suite...
 

J. A. Straus (dir.), L’Esclave dans l’Égypte romaine

Envoyer Imprimer

couverture_cdc_8_esclave.jpg

Jean A. Straus (dir.), L'Esclave dans l'Égypte romaine. Choix de documents traduits et commentés, Liège, 2020.

Éditeur : Presses Universitaires de Liège
Collection : Les Cahiers du CEDOPAL, 8
150 pages
ISBN : 978-2-87562-240-2
14,00 €


Après la conquête de l'Égypte par Alexandre (hiver 332-331 av. J.-C.), de nombreux hellénophones s'installent dans le pays, espérant y trouver la réussite. Ils apportent avec eux leur langue et leur mode de vie. L'esclavage fait partie de celui-ci. La mort de Cléopâtre en 30 av. J.-C. entraîne l'annexion du pays par Rome. Des Romains s'établissent en Égypte, mais le latin y est infiniment moins utilisé que le grec, langue pratiquée par l'élite romaine. Ces Romains emploient aussi les esclaves. Grecs, Romains et même Égyptiens rédigent sur papyrus et ostraca (tessons de céramique ou éclats de pierre), en grec ou en latin, une série de documents variés, officiels ou privés, dans lesquels apparaissent des esclaves. Dans ce livre, l'auteur présente un choix de ces documents écrits entre 30 av. J.-C. et 400 apr. J.-C. Ces documents illustrent de manière originale la vie des esclaves dans l'Égypte romaine sous les titres suivants : devenir esclave, changer de maître, l'esclave utilisé, l'esclave contribuable, l'esclave différent, l'esclave malfaiteur, l'esclave maltraité ou puni, l'esclave fugitif, l'esclave et ses maîtres, cesser d'être esclave. Chaque document est traduit et accompagné d'un commentaire qui en permet une bonne compréhension.

Lire la suite...
 

A. Puéjean, Les croyances religieuses en Tarentaise et Valais à l'époque romaine

Envoyer Imprimer

croyances_religieuses_tarentaise_valais_epoque_romaine_andre_puejean.jpg

André Puéjean, Les croyances religieuses en Tarentaise et Valais à l'époque romaine, Nîmes, 2020.

Éditeur : Nombre 7 Editions
243 pages
ISBN : 978-2-38153-020-8
29 €

A l'époque romaine, les Ceutrons de la Tarentaise et les Valaisans du Valais suisse continuèrent à vénérer les dieux gaulois sous leur nom indigène. Ils adorèrent aussi les divinités officielles de Rome, même si celles-ci étaient le plus souvent l'objet d'un culte de la part du gouverneur et son entourage. Mais ce sont surtout les dieux issus du syncrétisme gallo-romain qui eurent leur préférence car ces dieux leur rappelaient leurs divinités ancestrales.
Les religions importées de l'Orient furent dans l'ensemble peu présentes en Tarentaise contrairement au Valais. Les habitants de ces régions alpines témoignèrent d'une grande ferveur, certes souvent intéressée, au culte impérial, manifestant ainsi leur fidélité au Prince et leur attachement à l'Empire. Ils honorèrent enfin leurs morts avec une dévotion toute particulière. Quant aux premières communautés chrétiennes, elles n'apparurent et ne se développèrent qu'au Bas-Empire en Valais, puis en Tarentaise.

 

Source : Decitre

 

G. Carrasco Serrano (éd.), Economía romana en Castilla-La Mancha

Envoyer Imprimer

gregorio_carrasco_serrano.jpg

Gregorio Carrasco Serrano (éd.), Economía romana en Castilla-La Mancha, Cuenca, 2020.

Éditeur : Ediciones de la Universidad de Castilla-La Mancha
Collection : Estudios, 168
431 pages
ISBN : 978-84-9044-367-5
25 €

En esta obra se abordan diversos aspectos relativos a la economía romana en el territorio de la Meseta sur de Hispania, a la luz de las últimas investigaciones llevadas a cabo al respecto.
Así pues, es objeto de estudio la economía romana en la provincia de Ciudad Real, y la circulación monetaria en el ámbito provincial de Albacete, así como el tráfico comercial de la ciudad de Segóbriga, y el paisaje agrario romano de la provincia de Guadalajara. También se presta atención a los intercambios y relaciones entre la Meseta superior y la Meseta meridional, así como a los talleres y artesanos de escultura romana, y las producciones musivas, teniéndose en cuenta igualmente aspectos tan destacables como el comercio cerámico, la sal en época romana, y la tan significativa minería del lapis specularis en estos ámbitos meridionales de la Meseta.

 

Source : Ediciones de la Universidad de Castilla-La Mancha

 

L. Olivier, César contre Vercingétorix

Envoyer Imprimer

cesar_contre_vercingetorix_laurent_oilivier.jpg

L. Olivier, César contre Vercingétorix, Paris, 2019.

Éditeur : Belin
Collection : Collection Histoire
624 pages
ISBN : 978-2-410-01361-0
26 €

De l'affrontement de deux guerriers à la naissance d'un héros national français
Alésia, 52 avant J.-C. La Gaule n'est pas encore entièrement conquise mais deux ennemis, que tout oppose, se livrent un combat à mort : Jules César, proconsul, et Vercingétorix, à la tête de la révolte gauloise. La défaite du chef arverne signe la victoire du futur empereur romain. César ne s'y trompera pas, humiliant le chef vaincu en l'exhibant dans les rues de Rome. Mais sait-on qu'avant de se livrer une guerre totale, le conquérant romain et le jeune gaulois ont été amis ?
En neuf mois d'actions de guérilla menées de main de maître, ce face-à-face aura marqué le cours de l'histoire de l'Empire. Cependant, de vaincu, Ver-cingétorix est peu à peu passé au statut de héros national, transformant sa défaite et celle de la Gaule en une victoire morale.
Laurent Olivier mène une véritable enquête criminelle, reprenant le témoignage des historiens romains et faisant appel aux dernières découvertes de l'archéologie, il apporte des révélations stupéfiantes. Après sa mort, Vercingétorix a connu bien d'autres vies.

 

Source : Belin

 

C. Sotinel, Rome, la fin d'un Empire. De Caracalla à Théodoric 212 - fin du Ve siècle

Envoyer Imprimer

claire_sotinel_rome_la_fin_dun_empire.jpg

Claire Sotinel, Rome, la fin d'un Empire. De Caracalla à Théodoric 212 - fin du Ve siècle, Paris, 2019.

Éditeur : Belin
Collection : Mondes anciens
688 pages
ISBN : 978-2-7011-6497-7
49 €

En 212, l'empereur Caracalla confère par édit la citoyenneté romaine à tous les habitants libres de l'Empire. Cette mesure couronne une évolution séculaire vers un empire à la fois politiquement unifié et culturellement universel. En 527, les élites romaines prennent conscience que les royaumes gothiques ont achevé de tuer l'Empire d'Occident. Le passage de témoin à l'Empire byzantin se réalise dans un Ve siècle qui se termine lorsque l'empereur Justinien tente de reconstituer une unité impériale universelle, sur des bases devenues profondément différentes de celles qui avaient fondé l'Empire romain.
La longue période qui va de 212 à 527 a ainsi vu se produire des transformations impressionnantes : la fin d'une société d'ordres, la fusion des populations barbares et des populations provinciales, la déconstruction politique de l'Empire romain, la diffusion du christianisme. L'Antiquité tardive est aujourd'hui le sujet de vifs débats entre les historiens qui veulent réactiver la notion de déclin de la civilisation.

 

Source : Belin

 

C. Virlouvet, N. Tran et P. Faure , Rome, cité universelle. de César à Caracalla 70 av. J-C - 212 apr J-C.

Envoyer Imprimer

rome_cite_universelle.jpg

Catherine Virlouvet (dir.), Nicolas Tran et Patrice Faure, Rome, cité universelle. de César à Caracalla 70 av. J-C - 212 apr J-C., Paris, 2018.

Éditeur : Belin
Collection : Mondes anciens
880 pages
ISBN : 978-2-7011-6496-0
49 €

L'apogée de l'Empire romain
L'histoire de Rome que dépeint ce volume est celle de l'apogée d'un empire « mondial ». Comment une petite cité est-elle parvenue à dominer un ensemble de terres s'étendant de l'Écosse et du Danube au désert africain, de l'Atlantique au Proche-Orient, et à établir cette domination de manière assez durable pour marquer profondément l'histoire de tous ces territoires ?
Le succès de la domination romaine tient pour bonne part à une conception ouverte de la citoyenneté. Le recensement de 70 av. J.-C. régla un conflit qui avait opposé Rome aux Italiens, une vingtaine d'années auparavant. Tous les hommes libres de la péninsule formèrent désormais le populus Romanus. Près de trois siècles plus tard, en 212 apr. J.-C., Caracalla attribua le bénéfice de la ­civitas Romana à tous les habitants libres de l'empire. Or, durant la période délimitée par ces deux mesures, les possessions romaines s'étaient étendues bien au-delà des rivages de la Méditerranée. Cette expansion fut l'œuvre collective des soldats romains et de leurs chefs. Garants d'une domination qui se prétendait universelle, et qui avait pour siège la plus grande ville de l'Antiquité, les princes adaptèrent la Cité au gouvernement du monde. L'ouvrage examine cette histoire en recherchant la cohérence d'une construction impériale singulière, qui servit – plus tard – de modèle à bien d'autres.

 

Source : Belin

 


Page 104 sur 118